Oh ! Semaine ! Que tu es longue pour moi !
Bien que tous les mercredis soirs, je sois libre,
De cette façon, jamais je ne pourrai vivre.
Nous sommes séparés, mon grand ami et moi.
Oh ! Mon ami ! Ne t’ennuies-tu pas de moi, toi ?
Ignores-tu combien c’est pénible de vivre
Loin d’un ami ? Quand de tristesse, il faut vivre…
Toujours penser à toi et vivre loin de toi.
Mais, dans quelques jours, je te reverrai enfin !
Oh ! Hélas ! Pas pour longtemps. Nous le savons bien.
Toujours ce sam’di qu’il me faut attendre !
Dans quelques mois, nous nous reverrons tous les soirs.
Oh ! Bien sûr, ce ne sera qu’après décembre.
Que j’ai hâte de vivre ces futurs bons soirs !